L’automne est la période idéale pour soutenir le système pulmonaire et prendre soin de ses poumons.

Les poumons font partie du système respiratoire. Constitués de bronches, de bronchioles et d'alvéoles, ils assurent les échanges gazeux entre l'organisme et l'air ambiant.

Ils permettent ainsi à l’oxygène de l’air d’être à la disposition des cellules et de rejeter le gaz carbonique.

L’oxygène permet de produire de l’énergie, participe à de nombreux métabolismes du corps et à l’élimination des déchets. Un cerveau privé d’oxygène entraîne la mort en quelques minutes seulement.

Respirer est donc une fonction vitale… à laquelle pourtant on prête rarement attention.

Respirer correctement n’est pas si évident qu’on le pense, mais est essentiel pour ne pas être en hypoxie (carence d’oxygène).

Pourtant, entre les rythmes de vie actuels, le stress chronique, la sédentarité, la pollution ambiante et les masques, nous avons perdu l’habitude de respirer à pleins poumons et beaucoup d’entre nous se retrouvent en carence d’oxygène.

• Le déficit d’oxygène provoque un ralentissement de la production d’énergie dans la cellule. Résultat : les réactions biochimiques d’assimilation des nutriments sont incomplètes, les déchets s’accumulent et intoxiquent progressivement l’organisme.

• Excès de radicaux libres : La mitochondrie ne fonctionne plus correctement : elle fabrique des radicaux libres en plus grande quantité (stress oxydant). L’hypoxie entraîne en outre une dégradation des systèmes de défense antiradicalaire, soit un double stress pour la cellule.

• Impact sur le système nerveux : Le cerveau et le système nerveux central sont les plus gros consommateurs d’oxygène et donc les premiers touchés.

D’où le déclenchement de signaux d’alarme : fatigue chronique, nervosité, défaillance de la mémoire.

• Par la pratique d’exercices de respiration abdominale. Cette technique permet une meilleure oxygénation du corps. Elle est également relaxante et calmante.

• Par la pratique d’une activité physique régulière qui améliore la capacité respiratoire.

• En se baladant régulièrement en forêt, à la montagne ou à la mer…

Pour une pratique plus régulière, un chimiste français, René Jacquier, a conçu en 1945 un appareil appelé le bol d’air Jacquier.

René Jacquier avait constaté que les lieux de santé se situaient très souvent dans des forêts de pins et de sapins.

Cet appareil produit, à partir de l’oxygène de l’air, d’un arc électrique et d’huile essentielle de térébenthine (Pinus pinaster : pin des Landes ou maritime), un transporteur d’oxygène qui facilite l’oxygénation cellulaire.

• Lors des changements de saison,
• En cas de fatigue chronique, de stress, il améliore la récupération,
• Pour les sportifs : il facilite la préparation et la récupération physique
• En cas de problèmes respiratoires ou ORL : nez bouché, toux…
• En cas de problèmes d’allergie
• En cas de migraines, ou de troubles de la mémoire
• Lors d’une cure de remise en forme
• En accompagnement d’une perte de poids, d’un sevrage tabagique
• Pour diminuer les ronflements et l'apnée du sommeil

3 minutes les premières fois puis augmenter progressivement jusqu’à 10-15 minutes, par cures régulières dans l’année.

L’oxygénation bio-catalytique se pratique généralement en cure de 7 à 21 jours à raison de séances rapprochées voire quotidiennes si possible.

En utilisation hebdomadaire, il faut compter une vingtaine de séances pour optimiser le résultat.

                                                                                              Les cures ne présentent aucune toxicité ni accoutumance.

                                                                                              L’appareil peut être loué ou les séances peuvent se faire au cabinet.

Attention : aux femmes enceintes et allaitantes, aux enfants de moins de 36 mois, aux épileptiques ou en cas d’allergie à la térébenthine.

Il s’agit d’un complément respiratoire qui ne remplace pas les traitements en cours, lesquels ne doivent pas être arrêtés sans avis médical.